Vers Macas

Publié le par marietsimon

Nous sommes partis de Puyo relativement tôt (9h, c’est tôt pour nous !!! ) afin d’éviter au minimum la grosse chaleur. En effet, la veille nous avions pris notre temps et avions commencé à pédaler à midi… Marie s’était sentie mal à cause de la chaleur. Ici, il fait très chaud de 10h à 16h mais bon, en général ça fini toujours pas se couvrir un peu et ça devient plus supportable.

Nous avons roulé 70km en direction de Macas sur une route agréable et toujours très peu passante (certaines parties n’étaient pas goudronnées, au déplaisir de Simon). Nous avons cependant   du affronter la pluie tropicale et torrentielle pendant un quart d’heure,  mais nous nous sommes abrités à l’improviste sous une cabane sur le bort de la route. En fait, une partie de la maison de quelqu’un (absent). Puis, comme nous n’habitions pas ici comme  dit toujours Simon, quand il est temps de repartir, nous nous sommes équipés pour continuer sous la pluie, un peu moins forte à présent.

Au bout d’une descente dans un virage, nous avons vu deux personnes couchées par terre. Quand nous sommes arrivés à leur hauteur nous nous sommes rendu compte qu’il s’agissait de deux jeunes qui venaient d’avoir eu un accident avec leur moto ! Au même moment, 2 camions sont arrivés. Marie et moi avons sécurisés la route en nous mettant de chaque cotés du virage pour prévenir les autres véhicules qui arrivaient. L’un des deux jeunes avait vraiment l’air mal en point et personne n’avait de téléphone pour prévenir les secours ! C’est un des deux camions qui a continué vers le village le plus proche pour prévenir (à 1 km heureusement). Lorsque d’autres personnes sont arrivées pour apporter leur aide nous sommes repartis. En passant au niveau du village plein de monde accourrait, même  le médecin qui en profitait pour faire un petit footing d’échauffement, vu qu’il n’avait pas de voiture. Il ne valait mieux pas que ce soit grave.  Ah oui, j’ai bien aimé sa trousse de se cours : un simple masque pour la grippe et 4 pansements !!!

Cette accident nous a fait prendre conscience qu’il fallait que nous achetions une carte pour mettre dans notre téléphone portable et que nous connaissions le numéro des secours, pour le cas où…

Grace aux bons conseils d’Enzo (notre mentor pour ce voyage qu’il à déjà fait il y a quelque temps) nous nous somme arrêtés à La Puente dans un petit hôtel au bort d’une rivière. Nous avons failli ne pas y dormir, car lorsque nous sommes arrivés, l’endroit était complètement désert. Heureusement, en parlant avec les habitants nous avons trouvé le « dueno » (gérant). Donc on a pu s’installer. On a quand même été bien soulagés car on n’avait pas du tout envie de repartir pour galérer à trouver une place pour notre tente ou se refaire 20 bornes !!!

 

El Puente, une bonne adresse !!!

Les propriétaires de l’hôtel sont en train de le réhabiliter. Ils ont ouvert rien que pour  nous, nous  ont servit un bon repas et petit déjeuner et on a tapé la discut. Puis, Angel nous a fait découvrir une petite partie de la forêt, le long de la rivière.  Tout seuls ont ce serait vite perdu. La forêt est luxuriante et regorge d’espèces. Le guide nous a expliqué quelques vertus des plantes. A cet endroit nous avons zigzagé dans des labyrinthes formés par l’érosion des pierres.  Il y avait même quelques lianes pour se prendre pour tarzan !!! Aujourd’hui, 64 km au compteur.

Avant de partir, le 2ème frère a absolument voulu nous interviewer pour faire de la pub sur son site pour son hôtel.

Dans cette région vit la communauté Shuar, ayant leur propre  langue. Nous avons croisé beaucoup de communautés sur notre route, ces micros villages ne sont pas marqués sur la carte. La grande rivière qui passe s’appelle le « rio Pastaza ».

Ah oui ! Aujourd’hui, première chute du voyage pour Marie à cause des cales des pédales. Rien de grave. Mais c’était juste devant deux gamins qui ont rigolé de ma chute, refait la scène et raconté à tout le monde mon exploit en se bidonnant bien !!!  On leur a un peu parlé de notre voyage mais ils étaient timides.



...................................................................................................................................................................

En el camino de Macas.
Salimos Puyo relativamente temprano (9am es temprano para nosotros!) Para evitar, al menos, el calor grande. De hecho, ayer nos tomamos nuestro tiempo y había comenzado a viajar al mediodía ... María se había sentido enferma a causa del calor. Aquí, es muy caliente de 10 a 16h, pero bueno, en general aún no está terminado de cubrir un poco y se hace más soportable.
Nos dirigimos hacia la ruta de 70 kilometros Macas en un ancho de banda agradable y siempre muy poco (algunas partes no estaban pavimentadas, para disgusto de Simón). Sin embargo, nos enfrentamos a la lluvia y la lluvia torrencial durante un cuarto de hora, pero estamos protegidos por sorpresa en una choza en la carretera Bort. De hecho, parte de la casa de alguien (ausente). Entonces, como no vivimos aquí como Simón dice siempre, cuando es el momento de salir, estamos preparados para continuar en la lluvia, un poco más débil ahora.
Después de una redada en una curva, vimos a dos personas tiradas en el suelo. Cuando llegamos a su altura nos dimos cuenta de que había dos jóvenes que acababa de tener un accidente con su moto! Al mismo tiempo, 2 camiones llegaron. Marie y he conseguido el camino por ponernos a cada lado de la vuelta para evitar que otros vehículos llegaron. Uno de los dos jóvenes miró muy mal y nadie tenía el teléfono al rescate! Este es uno de los dos camiones siguieron al pueblo más cercano para evitar que (1 km afortunadamente). Cuando los demás vinieron a ofrecer su ayuda que se han ido. Pasando el pueblo lleno de personas que vienen en ejecución, aunque el médico que aprovechó la oportunidad para hacer un poco de trote para calentar, ya que él no tenía coche. Era mejor que esto es serio. Ah, sí, me gustaba su bolsa a los progresos: una simple máscara para la gripe y 4 apósitos!
Este accidente nos hizo darnos cuenta de que había comprado una tarjeta para poner en nuestro teléfono y sabíamos que el número de socorro en caso ...
Gracias a un buen consejo, Enzo (nuestro mentor de este viaje que ya ha hecho hace algún tiempo) nos detuvimos en La Puente, en un pequeño hotel en una Bort río. Nosotros casi no dormía, porque cuando llegamos, el lugar estaba completamente desierto. Afortunadamente, hablando con la gente que hemos encontrado el "dueño (gerente). Por lo tanto, podía moverse. No ha sido todavía muy aliviado porque no teníamos ganas de salir a las galerías para encontrar un lugar para nuestra tienda de campaña o 20 terminales de nuevo!

El Puente, una buena dirección!
Los propietarios del hotel están en el proceso de rehabilitación. Ellos abrieron sólo para nosotros, hemos servido a una buena comida y el desayuno y escribimos para discutirlo. Entonces, Angel nos hizo descubrir una pequeña parte del bosque a lo largo del río. Aunque esto por sí solo pronto habría perdido. El bosque es frondoso y lleno de dinero en efectivo. El guía nos dijo que algunas de las cualidades de las plantas. En este punto, en zig-zag laberintos formados por la erosión de las rocas. Había incluso algunas vides para llevar a Tarzán! Hoy, 64 km en el odómetro.
Antes de partir, el hermano 2 ª desesperadamente quería entrevistar a nosotros para anunciar en su sitio web para su hotel.
En esta región vieron la comunidad Shuar, tienen su propio idioma. Pasamos por muchas comunidades en nuestro camino, estos pueblos micrófonos no están marcados en el mapa. El gran río que corre que se llama el Pastaza "de Río.
Ah, sí! Hoy en día, el viaje de una primera caída a María porque posee pedales. Nada grave. Pero fue justo antes de dos niños que se rió de mi caída, rehizo la escena y le dijo a todos mi proeza en sí mismo buenos chistes! Estaban hablando un poco acerca de nuestro viaje, sino que eran tímidos.

Publié dans Equateur

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
ils font rêver ces recits et en sortant de l'ecole apres une journee de boulot ça fait du bien de vs lire et de s'evader, et comme le dit virginie on s'imagine avec vous sur les velos! allez continuez bien c'est super plein de tres grosses bises
Répondre
V
c'est super,avec vos récits, j'ai un peu l'impression d'être sur votre remorque et de voyager avec vous ...<br /> J'espère que je suis pas trop lourde .....
Répondre